Les candidats déclarés à droite :

 

Nicole Goueta : Tous pour Colombes

 

Nicole Goueta est actuellement élue conseillère générale du canton sud depuis 2001 et élue d'opposition depuis sa défaite aux municipalités de 2008

Mme Goueta, ancien maire, fut à la tête de la municipalité de Colombes de 2001 à 2008.

Elle se présenta par la suite en tant que suppléante de Manuel Aeschlimann pour les législatives en 2012. Rapprochement décrié au sein même de ses partisans comme le montre la vidéo sur le site ci-dessous indiquant le bilan de celle-ci lorsqu'elle était maire contrairement à celui de Manuel Aeschlimann qui fut désastreux.

http://www.alliance-grise.site90.net/

 

A 74 ans, Mme Goueta ne compte pas en rester là et souhaite briguer un nouveau mandat. 

Ainsi, Nicole Gouéta remporte la primaire de l'UMP (60,63%) contre 650 (39,37%) pour Lionnel Rainfray.

Elle obtient donc par la suite l'investiture UMP

 

    

 

 

Lionel Rainfray : Union pour Colombes

 

Engagé en politique depuis 1981, il a été élu en 1995, siégeant en tant que conseiller municipal d’opposition.

De 2001 à 2008, il fut adjoint chargé du développement économique, de l’insertion, puis délégué des ressources humaines sous la mandature de Nicole Goueta.

Bien qu'il ait perdu la primaire UMP, Lionel Rainfray a décidé de se maintenir allant ainsi à l'encontre de ce qu'il avait dit.

Non seulement celui-ci a perdu son équipe qui a rejoint le candidat investi, mais il fut également exclu de l'UMP.

Celui-ci se présente donc comme candidat de divers droite sans étiquette.

 

   

 

 

Samuel Metias : Colombes V2014

Samuel Metias est Colombien depuis presque trente ans. Il s'est engagé dans la vie citoyenne avec Rama Yade en 2010.

Délégué du Parti radical sur la 1ère circonscription des Hauts Seine et délégué de l'UDI à Colombes, il fut investi par l'UDI comme l'unique candidat de centre droit. 

Bien qu'issu de la société civile, celui-ci a démontré via sa campagne avec son équipe, un renouvellement politique et un rassemblement au-delà des clivages de la politique politicienne, insufflant ainsi un dynamisme nouveau, une campagne 2.0 original et une communication centrée sur les besoins des habitants. 

 

   

 

 

A noter que pour le plus grand bonheur de notre ville aucune candidature FN n'a était déclarée. 

 

Les candidats déclarés à gauche :

 

Phillippe Sarre : Colombes Avance

 
Monsieur Phillippe Sarre a derrière lui une longue carrière d'instituteur à Nanterre puis directeur d'école à Colombes. D'ailleurs ont note que la majorité de ses soutiens officiels apparaissant sur ses différents tracts proviennent d'instituteurs ou de professeurs.
En 1995, Philippe Sarre est élu conseiller municipale et devient maire adjoint chargé de l'enfance au sein de l'équipe menée par Dominique Frelaut-PCF. En 2001, la droite emporte la ville et Philippe Sarre siège dans l'opposition.
 En mars 2008, il est tête de liste d'une équipe d'union de la gauche (PCF-PS-verts-PRG-MRC). Il remporte les élections municipales, avec le score de 53,6 % contre la liste de droite / UMP menée par Nicole Goueta.
Opposé au cumul des mandats, Philippe Sarre a démissionné le 10 décembre 2008 de son poste de conseiller général, mais il a entre temps nommé sa femme en tant que maire adjointe.
 
Actuellement candidat sortant et investi encore une fois par le PS, celui-ci a su éviter les dissidences en négociant le ralliement des verts et du PCF dès le premier tour. Son bilan ainsi que son programme fait donc l'unanimité au sein de la gauche. Mais les habitants étant maître de cette élection, c'est à vous de juger son bilan :
  •  Une intercommunalité sans issue. Le candidat sortant avait donc décidé d’engager Colombes dans un projet intercommunal, associant Asnières-sur-Seine, Bois-Colombes, Gennevilliers et Villeneuve-la-Garenne. Villeneuve-la-Garenne s'étant retiré et Gennevilliers étant sur le départ, l'intercommunalité est un échec cuisant alors que nous espérions par bon sens une intercommunalité tournée vers la Défense, permettant à Colombes, qui perd ses entreprises depuis 4 ans, de bénéficier de l’attractivité économique du sud du département.
  • Une politique de stationnement catastrophique pour les Colombiens à un tel point où des habitants ont montés le Collectif Indépendant de Colombes contre le stationnement payant qui envahit toute la ville. Pour plus d'informations sur leur combat vous trouverez leurs articles hébergés par le site:  http://www.lapetitegarenne.fr/
    • Pour résumer cette politique, nous assistons à une recrudescence du nombre de rues devenues payantes. Un abonnement onéreux de 25€ par mois proposé aux Colombiens alors que sur Paris cela n'excède pas 15€. 
    • Le contrat désastreux pour les finances de Colombes qui a été signé. Sur les 25 prochaines années,  les chiffres démontrent un déficit important pour la ville, mais des profits énormes pour le délégataire Qpark. Et bien que celui-ci ait été signé lors de la mandature de Nicole Goueta, Monsieur Sarre n'a pas cherché à le renégocier. 
    • La gestion désastreuse du délégataire qui a « recyclé » dans de nombreuses rues ses vieux horodateurs n’acceptant pas la CB, la rupture de stock de badges en début d’année qui a également bien énervé les Colombiens, l’anarchie du stationnement dans le parking du centre ville les jours de marché en contradiction avec les plus élémentaires mesures de sécurité contre l’incendie…..
    • Et cerise sur le gâteau : depuis deux ans, de nombreux emplacements de stationnement disparaissent justifié par des faux-semblants tel que le rééquilibrage de la voirie entre les piétons et les voitures.
  • Des faits divers comparables au "petit Marseille" selon les dires de Monsieur Sarre, mais heureusement le Petit Colombes est classé zone de sécurité prioritaire !
  • Tous les mois, Colombes fait parler d'elle dans les journaux à cause des fusillades incessantes, des meutres ignobles, des viols, des agressions, des trafics de drogue... Un tableau pas très réjouissant pour notre ville!
  •  Le départ du Racing Club qui fait perdre à Colombes une partie de son identité.
  • Un combat absent pour obtenir une station de métro à Colombes dans le cadre du Grand Paris. Que l'on s'étonne pas d'apprendre qu'une ville telle que Colombes ne soit pas correctement desservie. Et même si maintenant on a le tram, certaine ligne de bus ont supprimé la moitié de leur trajet. Ainsi, il n'y plus de 166 qui passe au centre de Colombes pour desservir Clignancourt. Et aucun bus n'emmène directement les Colombiens jusqu'à la Defense.
  • Une jeunesse bafouée et délaissée par des promesses non tenues. Des antennes jeunesses supprimées pour être remplacé par le vent qui tourne
  • Des rues sales et non entretenus alors que nous avons eu le droit à un matraquage d'une campagne de communication sur l'incivilité.

 

     

 

Motivé-e-s pour Colombes :

Comme en 2001 et en 2008, les Motivé-e-s se représente aux élections municipales de mars 2014.

Cette liste a pour but de donner un autre choix à gauche aux électeurs.

Ils déplorent que le changement annoncé lors de la campagne présidentielle de François Hollande n'ait toujours pas eu lieu.

Au niveau local, avec la majorité du Parti socialiste leur constat est sans équivoque, c'est la continuité des politiques imposées par le libéralisme économique et l’Union européenne. Enfin, il souligne quant à la démocratie locale, pourtant un enjeu essentiel pour la ville, elle se réduit à une simple consultation des Colombiens. 

 

Laurent Turpin : La relève

 

Ce candidat prétend être à droite, se présente comme un candidat de droite, tiens un discours de droite mais ses actions démontre le contraire. Son parcours politique l'assimile à une girouette!

Il fut conseiller départemental et national de l'UDF, candidat aux élections législatives 2007 2ème Colombes Sud - Asnières

Il se présenta sur une liste Modem aux élections municipales de mars 2008 à Colombes. Pour le second tour, il décide de rallier Nicole GOUETA, maire sortante UMP. Mais c'est Philippe SARRE (PS) qui remporta la mairie.

N'ayant pas eu l'investiture Modem lors des législatives en 2012, celui-ci décide de quitter le Modem. Il reste néanmoins dans le groupe d'opposition modem à Colombes qui vote à 90% des délibérations avec Phillipe Sarre. 

Même l'actuel député Alexis Bachelay a indiqué sur les réseaux sociaux que celui-ci a constamment voté dans le sens de la majorité.  

Ainsi donc après l'UDF, le modem et une tentative pour obtenir l'investiture UDI, celui-ci a postulé pour l'investiture "nous citoyens" micro parti incognito. Il bouffe à tous les râteliers tant qu'il y en a pour un, il y'en a pour toute l'équipe.

De plus, son acolyte Salem Belgourch était à la base un élu sur la liste du PS viré par Monsieur Sarre. Celui-ci lui reprochant des malversations dont il devra s'en expliquer devant les tribunaux très prochainement. Notons que bizarrement celui-ci reste discret depuis peu.  

Son équipe, fervent soutien de Monsieur Turpin pour des promesses inavouable ne sont pas tout blanc non plus. Certains traînent des casseroles, d'autres ont fait preuves de comportement agressif et immoraux tenant des discours à la limite du racisme. 

Par exemple, Ahmed BERIBICHE, chargé de mission auprès du candidat du Centre TRUPIN, en charge de la commission Culture-Interculturel, parle sur un tweet de "barbu" et d"otage" au sujet de l'inauguration de la poste Marceau en présence de plusieurs personnalités de la commune.

Enfin pour revenir à leur slogan "la relève" nous espérons que l'avenir de Colombes ne se résume pas à leur définition. Rappelons le, lamoyenne d'âge de leur liste est de 50 ans, celle-ci est composée de personnalités ancrées dans la politique colombienne depuis plusieurs dizaines d'années sans pour autant avoir eu un quelconque impact positif sur notre commune.

Nous reviendrons sur leur programme démagogique très prochainement afin de vous démontrer la démagogie et leur peu de respect de cette équipe qui prend vraiment les Colombiens pour des nigaud!

   

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